Samedi 1ère partie – Photos et jeux de domination
J’ai rendez-vous samedi après-midi pour réaliser la photo qui servira de couverture de mon livre. Mon éditeur souhaite une photo bien spécifique, dont je ne peux pas encore dévoiler le contenu. Mon ami Patrick Le Sage m’aide une fois de plus dans la réalisation du projet de mon livre en mettant les lieux et son savoir-faire à disposition. Le shooting photo sera réalisé par le photographe Ressan, qui est très connu dans la scène libertine pour ses magnifiques livres de photos érotiques. J’ai vraiment la chance et l’honneur d’avoir Monsieur Patrick Le Sage comme ami et je le remercie infiniment pour son soutien dans ce projet très important pour moi.
Pour la photo parfaite, j’ai envie d’un maquillage parfait. J’ai donc pris rendez-vous chez le maquilleur que je connais de mes récents tournages à Paris. Entre parenthèses, c’est pour me rendre chez lui que j’ai appris à me promener en ville sans le moindre maquillage. Longtemps, je n’aurais jamais eu ce courage, ni de publier des photos de moi complètement au naturel. C’est une belle expérience et je la conseille vivement à mes lectrices. Je crois qu’on a juste pas l’habitude de se voir ainsi, à force de se maquiller tous les jours.
Méconnaissable avec mon maquillage presque exagéré, j’arrive à la fameuse cave dans Paris de Patrick Le Sage, où aura lieu le shooting. Je fais la connaissance du photographe Ressan, qui est un homme surprenant, humble, extrêmement sympathique et très cultivé. Une belle découverte. Le courant passe vite et il m’explique son idée: Patrick Le Sage s’occupera de moi en tant que Maître afin de me procurer des sensations fortes, pendant que lui captera l’expression sur mon visage pour réaliser la photo souhaitée par l’éditeur. Je suis un peu surprise, car je m’attendais à des photos posées mais l’idée me plait énormément. Je suis très vite dans le jeu, et c’est assez surprenant de me laisser aller entre les mains du Maître, pendant que le photographe illumine la scène et tourne autour de nous pour photographier. Parfois les sensations sont tellement fortes que je l’oublie complètement. À la fin de la séance, Ressan me dit qu’on aura certainement LA photo. Je suis très curieuse et je me réjouis de découvrir le résultat, mais je devrai patienter encore un peu.
La session photo terminée, Ressan nous quitte. Patrick Le Sage propose de continuer la session de domination. Est-ce que je suis partante ? Et comment. Le Maître me bande les yeux, afin de me plonger dans ce noir qui me fait tout oublier autour de moi et qui renforce chaque sensation. Il me guide vers un banc, m’y attache dans une position à quatre pattes. Juste le fait de sentir les cordes et ses mains me fait frissonner. De l’entendre s’agiter à côté de moi est toujours si excitant. Qu’est-ce qu’il va prendre comme objet de plaisir ou de torture ? Qu’est-ce qu’il va me faire ? Je le saurai très vite. Ses mains qui me caressent mes fesses et qui me procurent encore des frissons ne sont que le prélude d’une longue session de dilatation anale. Il poursuit le jeu qu’il a commencé pour la session photo. En m’introduisant des godes de toutes tailles. Il commence par un objet de taille moyenne, suivi par de toujours plus gros. Il y en a que je ne peux pas deviner, mais j’adore les boules de pétanque que je reconnais de la session photo. Ce détournement de boules est nouveau pour moi mais tellement excitant. Le métal frais me dilate un maximum, et quand il joue pendant la dilatation en plus avec le vibromasseur très puissant sur mon clito, je quitte le sol. J’explose de plaisir.
Le Maître m’introduit ensuite un autre objet également très grand. Je n’arrive pas à deviner ce que c’est. Il me détache et me demande de me lever. J’ai peur de perdre l’objet qui est enfoncé dans mon cul, mais il me dit juste de bien serrer les fesses. Je sens agiter ses mains, qui me posent ensuite un objet lourd dans ma main. Il reprend le poids pour le laisser pendre à une ficelle au bout du plug qui se trouve dans mon cul. “Oh mon dieu, ça ne va jamais tenir”, me traverse l’esprit. Le poids doit faire au moins un kilo. “Serrez les fesses, Madame, et marchez”, m’ordonne le Maître. Il m’enlève le bandeau afin que je puisse voir où je mets les pieds. J’ai peur de perdre l’objet dans mon cul, mais je serre comme je peux, et finalement il ne bouge pas. C’est très excitant de marcher en sentant ce gros truc dans mon cul. Quand le Maître m’ordonne d’écarter les jambes pour me procurer du plaisir avec le vibromasseur, je n’arrive plus à me contrôler. Je jouis et je lâche mes fesses. Du coup, je sens le gode tomber de mon cul, et là je découvre qu’il s’agissait d’une quille. Franchement, il fallait y penser. J’aurai eu droit à pleins de jeux de boules cet après-midi …
Je suis satisfaite, crevée et très heureuse. Mais ce n’était que le début de cette journée de folie. Bientôt tu sauras tout de la deuxième partie …
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