SOS Adeline: Comment réussir des insertions anales extrêmes sans se blesser ?

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C’est une question qui revient souvent : faut-il un entraînement spécial pour explorer des pratiques anales extrêmes ? Spoiler alert : non. Mais il y a des précautions et un état d’esprit à adopter pour que cela reste un pur plaisir.

L'ANUS, CE MUSCLE EXTRAORDINAIRE

L’anus est un muscle comme un autre : il peut être assoupli, dilaté et entraîné progressivement. On ne passe pas d’un gode fin à un triple anal du jour au lendemain – sauf si on aime les défis (et les urgences médicales, ce que je déconseille fortement).

L’idée, c’est de respecter son corps et d’y aller progressivement. Commencer avec des objets adaptés, augmenter doucement la taille, et surtout, écouter les signaux de son corps. Pour ma part, j’ai découvert le plaisir anal à 20 ans, le fisting une quinzaine d’années plus tard, et les très grosses insertions encore plus récemment. Chaque étape est une découverte, pas une performance.

DOULEUR ≠ PLAISIR (SAUF SI C'EST TON KINK, MAIS AVEC MODÉRATION)

Si ça fait mal, c’est que tu vas trop vite ou que ton corps dit non. L’objectif n’est pas de se prouver quoi que ce soit ni d’atteindre un record du monde. Certains corps sont naturellement plus souples que d’autres, et ce qui est possible pour l’un ne l’est pas forcément pour l’autre. Il faut respecter ses propres limites.

Et si une légère sensation de brûlure peut être excitante pour certain·es, la vraie douleur, celle qui crispe et fait contracter, est un gros stop. On ne force jamais.

LUBRIFIANT = TON MEILLEUR ALLIÉ

Sans lubrifiant, pas de glisse. Sans glisse, pas de plaisir. Peu importe la marque, l’important, c’est d’en mettre des litres (ou presque). Le but est d’éviter toute friction désagréable et de laisser le corps s’adapter en douceur.

FAUT-IL VRAIMENT 'S'ENTRAÎNER' ?

La réponse est simple : non. L’anal extrême n’est pas une discipline olympique. On le fait par envie, par plaisir, pas pour cocher une case ou atteindre un objectif précis. Si tu ressens le besoin de “t’entraîner”, c’est peut-être que le plaisir n’est pas (encore) au rendez-vous.

Pour ma part, c’est une pratique qui m’excite énormément, et je la vis au gré de mes envies. J’écoute toujours mon corps, et au moindre inconfort, je fais une pause.

ET LA FERMETURE DU SPHINCTER DANS TOUT ÇA ?

Grand classique des inquiétudes : “Est-ce que mon anus va rester ouvert ?”. La réponse est non. Mon muscle anal se ferme parfaitement bien, et mon cul est en état “normal” (et magnifique, soit dit en passant). Si j’avais le moindre doute sur une perte de tonicité, j’arrêterais tout de suite.

EN RÉSUMÉ ?

  • Doucement mais sûrement : on progresse à son rythme.
  • Pas de douleur excessive : plaisir avant tout.
  • Lubrifiant en abondance : pas de sécheresse ici.
  • Pas d’entraînement obligatoire : juste de l’envie.
  • Écoute de son corps : il te dira toujours ce qui est bon pour toi.

Bref, amuse-toi, découvre à ton rythme, et surtout, prends du plaisir sans pression ! 😉

Adeline Lafouine
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